Durand des mois, j'ai subi les agissements déplacés de mon supérieur hiérarchique direct, à savoir : injures, mépris, brimades, discrédits auprès de mes collègues, rétentions d'informations, absences de consignes, etc... jusqu'à la fameuse insulte (en forme de blage) cela semble t il passe mieux car si vous ne l'acceptez pas, vos avez un manque évident d'humour... Bref, quelques jours plus tard, j'ai craqué en été mise en arrêt maladie. La hiérarchie étant informée de ces comportements et malgré mes relances incessantes par téléphone, j'ai du attendre plus d'un mois 1/2 afin que celui-ci soit convoqué. Ni par le Président de la Collectivité, ni par son Vice-Président délégué au Personne, ni par le DGS mais simplement et uniquement la responsable du personnel qui lui a rappelé que l'on n'insultait pas les gens dans le milieu professionnel et puis une petite lettre sans doute informel et tout était terminé pour lui....Aucune sanction. En revanche, ma demande de changement d'affectation a été refusée et que je devais donc "retravailler" avec lui à mon retour. Je pensais naivement que la collectivité avait obligation de soutenir une employée face à ce type d'agissements. Maintenant, l'on me dit que c'est moi qui est refusée toute sanction. Une question : est-ce à l'employée d'indiquer à sa hiérarchie la sanction à prendre ? Par téléphone, cette question m'a été posée lorsque j'ai indiqué qu'il s'est fait tapoter sur le doigts et qu'il doit bien rigoler. La responsable du personnel m'a demandé ce que je voulais et notamment si je voulais qu'on le fiche à la porte. J'ai répondu par la négative. Et maintenant, l'on me dit que c'est moi qui est refusée toute sanction. Le résultat : il n'a pas été sanctionné. En revanche, je suis sanctionnée à devoir continuer à travailler avec lui. Qu'en pensez-vous ? Avez-vous des idées pour avancer dans cet imbroglio ? Merci à vous tous et toutes.